Guilhaume Emet, de la ville de Genève, ayant abjuré son hérésie selon qu’il m’a paru par l’attestation de l’inquisiteur de la ville de Florence, et marié à Margueritte Weisin, de la ville de Nuremberg, ayant aussi abjuré son hérésie selon qu’il appert par l’attestation de Jean Mabot, curé dans laditte ville de Nurembert, le premier celle de Calvin et la seconde celle de Luther. Venant de Rome, le susdit Guilhaume Emet s’est trouvé malade dans cette parroisse de Fuveau. Et après avoir donné des marques d’un bon chrétien, est mort le 11e et a été enseveli le 12e octobre [1728] dans le cimetière de cette parroisse, accompagné de M. Meynier, prêtre, et de plusieurs autres.
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